Rencontre BioArt – Festival Accès(s) – Pau

Le Festival Accès(s) de Pau accueillait cette année le projet Humalga de Špela Petrič et Robertina Šebjanič et organisait dans ce cadre une rencontre autour du bioart à laquelle je participais.

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6×6/36 à la Galerie Up, Bruxelles

Clarisse Bardiot et Alexi Hervé ouvrent une galerie à Bruxelles, la Galerie Up, consacrée à l’art contemporain sous toutes ses formes et qui montrera des « Flash-expos » de 3 jours maximum.

L’exposition inaugurale est autour du projet 6×6/36 du Collectif Nunc auquel j’ai participé et édité par les éditions Subjectile et se tient le 9 novembre de 18h à 21h.

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Art et Minitel en France à la fin des années 80.

J’ai fait une présentation sur « Art and Minitel in France in the 80’s. A Fragmented History » dans le cadre de Renew, 5th International Conference on the Histories of Media Art, Science and Technology, organisée par le RIXC à Riga du 8 au 11 octobre 2013.

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« En vie / Alive » dans MCD

Mon article sur l’exposition « En vie / Alive. Aux frontières du design est paru dans le numéro hors-série numéro 8 d’octobre 2013 de MCD Magazine des cultures digitales consacré aux « Cultures Numériques Live ». On peut  télécharger gratuitement MCD au format Pdf ici ou l’article sans les images ici.

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Les Basiques : Le Design d’interaction par Emanuele Quinz & Luca Marchetti

Parution d’un deuxième titre cette année dans la collection Les Basiques que je dirige pour Leonardo/Olats

Les Basiques : Le Design d’interaction par Emanuele Quinz et Luca Marchetti.

Présentation

« Comme les designers industriels ont donné forme à notre quotidien, dans nos bureaux et nos habitations, aujourd’hui le Design d’Interaction donne forme à notre vie grâce aux technologies interactives – ordinateurs, télécommunications, téléphones mobiles etc. » Gillian Crampton-Smith (in Bill Moggridge, Designing interactions, Cambridge, Massachussets, MIT Press, 2007 p XI).

Dans les années 1980, Bill Moggridge a introduit la notion de Design d’Interaction, en la définissant comme la conception des interfaces qui facilitent l’interaction entre les humains et les machines (notamment informatiques). Depuis, les définitions et les pratiques se sont transformées. Aujourd’hui, le design d’interaction est une facette d’un panorama disciplinaire de plus en plus vaste et complexe, et se positionne au croisement entre l’art, les technologies et les sciences (de l’ingénieur mais aussi humaines, comme la psychologie ou l’anthropologie). Ses préoccupations s’étendent de la conception des objets techniques à toutes les implications du monde numérique au sens le plus large, des télécommunications aux loisirs, aux services.

En participant d’un mouvement généralisé dans le design, qui l’émancipe non seulement du rapport traditionnel entre forme et fonction, mais aussi des limites de la production industrielle, le design d’interaction devient de plus en plus un champ d’intervention total, qui s’étend de la gestion des environnements à la scénarisation des relations: de l’objet à l’expérience.

L’objectif du Basiques : Le Design d’interaction est de proposer une série de définitions qui permettent de saisir ce domaine complexe et en plein essor et d’en positionner les protagonistes dans l’histoire.

Sommaire

– Qu’est-ce que le design d’interaction ?

– D’où vient le design d’interaction ?

– Qu’est-ce que l’interaction dans le design ?

– Quelles sont les différentes approches du design d’interaction ?

– Quelles sont les principales théories ?

– Quels sont les lieux de formation au design d’interaction ?

– Quelques exemples d’application du design d’interaction

– Conclusion : quelle évolution pour le design d’interaction ?

Cet ouvrage a reçu le soutien du Ministère de la culture et de la communication (Secrétariat général / Service de la coordination des politiques culturelles et de l’innovation)

Luca Marchetti

Sémioticien de formation, il est chercheur à l’Institut de Recherche en Art et Design de la HEAD de Genève (CH), professeur de Sémiotique du Design et de la Mode à l’École Nationale Supérieure des Beaux Arts de Lyon (ENSBA) et enseigne la Sémiotique Appliquée au CELSA (Paris IV, La Sorbonne) et à l’Institut Français de la Mode (IFM, Paris). Parallèlement il mène une activité de consultant auprès de marques et instituts d’études. Collaborateur de magazines tels que Vogue Italia, Casa Vogue, Lotus International, Form et Domus, il contribue régulièrement à des publications sur la mode, le design et l’art contemporain.

Emanuele Quinz

Historien de l’art, il est Maître de Conférences à l’Université Paris 8 et enseignant-chercheur auprès de l’ENSAD-Lab (Ecole Nationale Supérieure des Arts Décoratifs). Titulaire d’un doctorat en Esthétique, ses recherches explorent les convergences entre les disciplines dans les pratiques artistiques contemporaines : des arts plastiques au design et à la mode, de la musique à la danse. Il a dirigé plusieurs ouvrages dont Du corps à l’avatar (anomos, 2000), La scena digitale (avec A. Menicacci, Marsilio, 2001), Digital Performance (anomos, 2002), Interfaces (anomos, 2003) et MilleSuoni, Deleuze, Guattari e la musica elettronica (Cronopio 2006), Un certain degré d’étrangeté. Pour un design des comportements (avec J. Dautrey, Editions It, 2013). A la recherche et à l’enseignement, il associe une pratique de commissariat d’exposition.

Luca Marchetti et Emanuele Quinz ont fondé en 2007 mosign, un studio de conseil dédié à la gestion globale de l’identité de marque, à la direction artistique d’événements et au commissariat d’exposition entre art, mode et design. Ensemble ils ont dirigé des projets d’expositions et de recherche parmi lesquels Dutch Paradox (Paris 2012), Basic Instincts (Berlin, 2011; Arnhem, Shenzhen, 2012), Dysfashional (Luxembourg 2007 ; Lausanne, 2008 ; Berlin, 2009 ; Paris et Moscou 2010 ; Jakarta, 2011), Experience Design (Bolzano, 2005), FIRs : Fashion Italian Roots (Bruxelles 2004), en:trance (Bolzano 2004, Paris 2006-2007).

La collection Les Basiques

Le projet Les Basiques de Leonardo/Olats est une collection d’ouvrages hypermédia accessible gratuitement en ligne qui, comme son nom l’indique, propose des connaissances et des informations de base, les principaux questionnements, et un ensemble de références permettant un approfondissement, sur une thématique ou une question particulière au sein du champ de l’art et des technosciences.

Chaque « volume » est structuré autour d’une dizaine de questions qui font chacune l’objet d’un « chapitre ». Elles sont liées entre elles autour des notions clés.

Collection dirigée par Annick Bureaud

Leonardo/Olats

Branche française de Leonardo/Isast (www.leonardo.info), Leonardo/Olats (l’Observatoire Leonardo pour les Arts et les Techno-Sciences) est une association culturelle de recherche et de publications en ligne dans le domaine des arts et des technosciences. Leonardo/Olats s’intéresse non seulement aux productions de l’art technologique mais aussi aux rencontres entre scientifiques, ingénieurs, artistes et acteurs culturels par le biais de l’organisation de colloques, séminaires ou de soutien à des projets d’artistes en résidence.

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Les Basiques : Arts de la scène et technologies numériques : les digital performances par Clarisse Bardiot

Vient de paraître dans la collection Les Basiques que je dirige pour Leonardo/Olats

Les Basiques : Arts de la scène et technologies numériques : les digital performances par Clarisse Bardiot

Présentation

Le Basiques : Arts de la scène et technologies numériques : les digital performances est consacré aux relations entre arts de la scène et technologies numériques.

L’histoire du théâtre en tant que lieu est marquée par l’invention et l’intégration de techniques, que ce soit pour la machinerie, l’éclairage, le son. L’introduction des technologies numériques et des réseaux, dans le domaine du spectacle vivant, et plus particulièrement dans la danse et le théâtre occidentaux, engendre un bouleversement qui oblige à s’interroger sur la nature des arts de la scène et sur leur évolution.

Le Basiques : Arts de la scène et technologies numériques : les digital performances aborde l’histoire, les enjeux artistiques, esthétiques et technologiques dans une optique résolument multidisciplinaire. Le numérique contribue, en effet, à brouiller les frontières entre danse, théâtre, cirque et performance.

Ce Basiques sur les arts de la scène inclut de nombreux liens vers les sites des artistes ainsi que vers des sites de partage de vidéos permettant d’illustrer par des exemples l’ensemble des chapitres.

Il s’adresse aussi bien aux étudiants qu’aux enseignants d’École d’art et d’Université mais aussi à tous les amateurs et curieux de la création artistique contemporaine.

Sommaire

. Que sont les « digital performances » ?

. Quels sont les antécédents historiques des digital performances ?

. Quelles sont les premières digital performances ? (années 1960)

. Quels sont les espaces scéniques des digital performances ?

. Qu’implique l’interactivité pour l’interprète et pour le spectateur ?

. Les digital performances vont-elles entraîner la disparition de l’acteur et du danseur ?

. Quels sont les types d’écriture (scénique et textuelle) à l’œuvre dans les digital performances ?

. Quels modes de collaboration entre artistes et ingénieurs ?

. Comment documenter les digital performances ?

. Quelles sont les technologies mises en œuvre ?

. Festivals, lieux de création et de diffusion

. Bibliographie

Cet ouvrage a reçu le soutien du Ministère de la culture et de la communication (Secrétariat général / Service de la coordination des politiques culturelles et de l’innovation)

Clarisse Bardiot

Clarisse Bardiot est maître de conférence à l’UVHC et chercheure associée au CNRS. Elle est titulaire d’un doctorat sur Les Théâtres virtuels. Elle intervient comme conférencière, consultante, directrice artistique ou éditrice dans diverses institutions et événements culturels. Elle obtient en 2005 la bourse de chercheur-résident de la Fondation Daniel Langlois à Montréal pour une recherche sur 9 Evenings, Theatre & Engineering. Elle contribue au projet international DOCAM (Fondation Daniel Langlois – Montréal) sur la documentation et l’archivage des œuvres d’art à composante technologique. De 2009 à 2010, elle coordonne deux projets européens consacrés aux arts de la scène et aux technologies (CECN2 et Transdigital) et est rédactrice en chef de la revue Patch, dont elle crée la ligne éditoriale. En 2011, elle crée Subjectile (subjectile.com) une maison d’édition consacrée à la création contemporaine sous forme de publications imprimées et électroniques.

La collection Les Basiques

Le projet Les Basiques de Leonardo/Olats est une collection d’ouvrages hypermédia accessible gratuitement en ligne qui, comme son nom l’indique, propose des connaissances et des informations de base, les principaux questionnements, et un ensemble de références permettant un approfondissement, sur une thématique ou une question particulière au sein du champ de l’art et des technosciences.

Chaque « volume » est structuré autour d’une dizaine de questions qui font chacune l’objet d’un « chapitre ». Elles sont liées entre elles autour des notions clés.

Collection dirigée par Annick Bureaud

Leonardo/Olats

Branche française de Leonardo/Isast (www.leonardo.info), Leonardo/Olats (l’Observatoire Leonardo pour les Arts et les Techno-Sciences) est une association culturelle de recherche et de publications en ligne dans le domaine des arts et des technosciences. Leonardo/Olats s’intéresse non seulement aux productions de l’art technologique mais aussi aux rencontres entre scientifiques, ingénieurs, artistes et acteurs culturels par le biais de l’organisation de colloques, séminaires ou de soutien à des projets d’artistes en résidence.

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Art, technologies médicales, droit et éthique

L’Autorité de Sûreté Nucléaire (ASN) vient de faire un rappel à la loi à propos du projet Jeux de mains de Marc Ferrante que j’ai chroniqué dans ce blog. Voir plus bas le courrier électronique que j’ai reçu de l’artiste.

Ce « rappel à la loi » soulève des questions fondamentales quant à la création et la recherche artistiques utilisant des techniques d’imagerie médicale (largement nucléaires) alors même que c’est reconnu « sans danger ». L’ASN rappelle que le Code de la santé publique interdit l’utilisation des rayonnements ionisants « à des fins autres que le diagnostic, le traitement ou la recherche ». Il n’est donc pas imaginé que la recherche puisse être artistique ou même en sciences humaines …

Et, quid si on utilise « à des fins artistiques » des images réalisées lors de diagnostics ou de traitements ou … de recherches médicales et scientifiques …  Voilà donc du grain à moudre pour les juristes et les spécialistes de l’éthique. Ce qui m’évoque, évidemment, le projet Trust me, I’m an Artist, d’Anna Dumitriu.

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email de Marc Ferrante reçu le 27 mai 2013

Le jeudi 23 mai 2013 l’AFP a publié la dépêche qui suit :

L’Autorité de sûreté nucléaire (ASN) a rappelé jeudi que la loi interdit toute utilisation de rayons X ou d’autres formes de radioactivité sur le corps humain à des fins artistiques, ces rayonnements devant être réservés à des diagnostics ou traitements médicaux.

Ce surprenant rappel à la loi fait suite à une exposition intitulée « Jeux de mains… », de l’artiste plasticien strasbourgeois Marc Ferrante, qui a rassemblé une centaine de clichés radiographiques de mains humaines dans des lieux d’exposition situés à Strasbourg (…)

« Bien que les doses reçues par les volontaires ne soient pas de nature à avoir un impact sanitaire significatif, elles ne doivent en aucun cas être administrées sans justification médicale », souligne l’ASN, qui rappelle que le Code de la santé publique interdit l’utilisation des rayonnements ionisants « à des fins autres que le diagnostic, le traitement ou la recherche ».

L’artiste, Marc Ferrante, a confié à l’AFP  « comprendre » la démarche de l’ASN (…). “Ce travail avait pour but d’explorer les liens – très anciens – entre la photographie et les radiographies. Le physicien allemand Wilhelm Röntgen, père des rayons X,  « n’aurait jamais inventé la radiographie s’il n’avait pas été photographe », souligne Marc Ferrante.

AFP (Dépêche complète sur le site de La Croix, du Parisien)

Ces radiographies sont actuellement exposées au Muséum-Aquarium de Nancy au RDC (exposition individuelle jusqu’au 2 juin) et au 1er étage dans le cadre de l’exposition collective sur l’imagerie scientifique « corps en images » (jusqu’au 05 janvier 2014).

Communiqué de presse de jeux de mains

L’imagerie médicale véhicule les espoirs et les fantasmes de notre société parce qu’elle reflète les dernières innovations scientifiques et technologiques tout en nous renvoyant à notre condition et à notre fragilité. Ainsi la radiographie reste le théâtre des pathologies, des symptômes et des croyances de notre époque car elle est non seulement une découverte scientifique, mais aussi une invention culturelle.

Aussi, afin de porter une regard différent sur ce medium, j’ai confronté la radiographie à son histoire et à celle des autres arts contemporains de son invention (photo, cinéma, arts de la scène…) en mélangeant technologies récentes et vieux tours de passe-passe. Chacune de ces radiographies m’a ainsi permis d’investir ce medium de préoccupations sculpturales, poétiques ou historiques et de réfléchir sur les statuts de différents types de représentation et de leurs rapports au réel…  M. Ferrante

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« Weatherproof », Antony Lyons

I received today a book by and about Antony Lyons that is hard to describe as it is 2 books in one, one per artwork that is documented, in a beautiful design that can be considered an artwork in itself.

One project, under the cover SLOW, recalls his work-residency Weatherproof as part of the Lovely Project in County Donegal in Ireland, and for which I wrote the introductory essay A Turf-stack in a Gallery.

The second project, under the cover Dead Womans Ditch Quantock Hills, refers to another residency-work Quantock Dreaming. Secret Mappings and Mapping Secrets in the Quantock Hills, Somerset, England.

Lyons’s work deals with art and science but also with craftmanship, landscape and climate change, deep mapping and field recordings, poetry and environmental and land art, slowness and time, and much more.

I am proud to have my name in this book.

Quantock Hills Weatherproof, published by Wild Conversations Press, 2012, supported by PLaCE Research Centre, UWE, Bristol

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Résurgence du réel. Tissage, crochet, broderie dans l’art de l’anthropocène / Weaving, Crochet and Embroidery in Anthropocene Art

Le numéro d’Art Press 2 intitulé « L’Art dans le tout numérique / Art in the Digital Age », sous la direction de Norbert Hillaire vient de paraître (n°29, mai-juin-juillet 2013).

Il inclut mon article « Résurgence du réel. Tissage, crochet, broderie dans l’art de l’anthropocène / Weaving, Crochet and Embroidery in Anthropocene Art ».

Résurgence du réel. Tissage, crochet, broderie dans l’art de l’anthropocène (article en français au format Pdf)

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The Data Body on the Dissection Table. Arts, Humanities and Complex Networks

Le 4 juin, je co-organise pour Leonardo/Olats en collaboration avec le Medical Museion de Copenhague cette table-ronde.

The Data Body on the Dissection Table

Arts, Humanities, Medicine and Complex Networks

Evening Event – June 4th 2013 – 6:30 – 9 pm

Medical Museion, Bredgade 62 DK-1260 Copenhagen K

Dissection reveals what lies beneath the skin, but for a brief moment in time, and for a priviledged few. Depictions, models, and preservations have long been used to share what dissection uncovers; from ancient anatomical drawings to today’s virtual 3D anatomies.

In the 18th Century skinned “écorché” figures and anatomical waxes were constructed to reveal systems of interlocking bones, balanced pairs of muscles, and delicately entangled traceries of nerves and blood vessels. The Anatomy Lesson by Rembrandt, and the écorché The Horse Rider by Honoré Fragonard are famous examples at the border between medicine, science and art.

Contemporary medical sciences reveal ever more about the complex systems of the human body – but at a barely perceptible level. The (medical) human body today is understood, tested, and treated as a huge system of data, including complex interactions between our genetic material, our environment, and our host of microbial companions.

How do we grab hold of this data? How do we make sense of it and communicate it to others? How do contemporary artists and designers give our ‘data body’ material form through images, sound, and touch? What kind of tools are complex networks science proposing, and what kind of body do they reveal?

The Data Body on the Dissection Table brings together scientists, artists, philosophers, and designers to explore these questions, through roundtable presentations and audience discussion. The event takes place in Medical Museion’s auditorium – the Danish Royal Academy of Surgeons’ former anatomical theater.

Speakers include Albert-László Barabási, Distinguished Professor and Director of Northeastern University Center for Complex Network Research, Boston; François-Joseph Lapointe, Professor at the Biological Sciences Department, University of Montreal and Artist; Annamaria Carusi, Associate Professor in Philosophy of Medical Science and Technology at the University of Copenhagen and Jamie Allen, Artist and Head of Research at CIID/Copenhagen Institute of Interaction Design.

The event is co-organised by Leonardo/Olats and Medical Museion under the EU Studiolab framework, and in conjunction with the Leonardo Day « Arts, Humanities and Complex Networks » satellite event for NetSci 2103.

Attendance is free within the seat limits, refreshments provided.

Registration: http://medm.us/databody

Date: Tuesday, June 4th 2013 – Time: 6:30 – 9 pm

Venue: Medical Museion, Bredgade 62 DK-1260 Copenhagen K

Relevant web sites

Leonardo/Olats (for detailed programme)

Medical Museion, Copenhagen

Arts, Humanities and Complex Networks 2013

Arts, Humanities and Complex Networks e-Book and web companion

StudioLab

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