Plus habituée de Post City que de l’Arsenale, je me rends à Venise avec quelque excitation quoique un peu troublée par le fait que je connais vraiment beaucoup d’artistes qui y sont exposés cette année et de gens qui y parlent, comme dans cette rencontre « Art in DataSpace » que l’on dirait tout droit sortie d’un programme de Transmediale.
C’est sûrement un signe, mais j’ignore de quoi.
En attendant, c’est avec un grand plaisir que je vais y retrouver Tamás Waliczky, Marko Peljhan et Shu Lea Cheang qui représentent respectivement la Hongrie, la Slovénie et Taiwan et que j’ai présenté dans l’article pour le dossier d’art press de mai.